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Par flipperine le 15 Octobre 2014 à 00:19
Paie si tu veux boire,
Avant de commencer, il faut mieux,
Que de verres avalés,
Un peut-être pour oublier,
Envie d'alcool,
Ravages sur notre corps, elle produit,
Enervement, endormissement,
Tant d'accidents occasionnés,
Tant de malades, elle engendre
Et pour tout cela, c'est à consommer avec modération
87 commentaires -
Par flipperine le 11 Octobre 2014 à 19:14
Mon compagnon a une envie,
Il veut un chien,
Je lui explique vivant en appartement,
Cela risque d'être dur.
Mais rien n'y fait c'est son désir.
Nous visitons un refuge,
Là, c'est un chien où il faut de l'espace,
Ca ne peut convenir.
Nous prenons la direction de la SPA.
Nous faisons le tour des box.
Cela fait triste de voir toutes ces bêtes cloîtrées.
Et d'un coup, un flash se produit.
Un petit caniche couleur chocolat est là.
Il est avec un gros chien noir.
Le caniche nous regarde.
Nous rentrons à la maison.
Sitôt arrivés,
Mon ami me dit c'est celui là,
J'ai eu un coup de foudre pour lui.
Nous appelons la SPA
Et nous leur annonçons notre choix,
Nous passerons le lendemain.
Ni heure, ni moment,
De bonne heure nous partions.
L'animal nous est présenté.
Nous le caressons,
Et déjà il remue la queue de contentement.
Nous confirmons c'est celui-là qu'il nous faut.
Là, il le tatoue.
Et encore endormi,
Mon presque époux le porte.
Il le met dans la voiture.
Arrivés à notre logis,
Il fait la connaissance des lieux,
Il est encore jeune.
Jamais il n'a abîmé de chaussures,
Seul un fauteuil a souffert lors de nos absences.
Mais il prend comme doudou,
Une de mes culottes,
Et plus moyen de lui reprendre durant ces jeunes années.
Nous le promenons dans la résidence avant de prendre la route,
Afin de l'habituer à la laisse.
Et des réflexions fusent :
Mais comme il est maigre,
Comme il a le regard triste.
Plus tard ce sera,
Comme il est beau maintenant.
Sans doute, ne mangeait-il pas à sa faim à la SPA ?
C'est à mon chéri qu'il réclame à manger,
Et moi ceux sont les câlins,
Il monte sur mes genoux.
Quand il vient quelqu'un,
Il faut le prendre dans les bras comme un bébé.
Il a certainement peur d'être encore une fois abandonné.
Nous l'emmenons au restaurant,
Il ne bouge pas.
Avec lui, nous faisons ce que nous voulons,
Nous l'habillons avec un chapeau de Noël,
Nous le mettons coucher avec une peluche dans les bras,
Nous le faisons danser....
Lorsque nous partons en vacances,
Il est des nôtres
Et il n'y a aucun moyen de l'oublier,
Un véritable pot de colle.
Pour être tranquilles,
C'est lui le premier dans la voiture.
Au Nord, chez ma mère,
Il y a un jardin,
Il n'ose faire ses besoins,
Il faut sortir avec lui,
Même au début, nous lui mettons la laisse,
Il fait comme s'il était en ville.
Et peu à peu il s'habitue,
En Savoie, il reconnaît l'hôtel
Et il est à la chambre avant nous.
En vieillissant, il commence à faire des crises d'épilepsie.
Quelle peur nous avons eu lors de la première,
Nous l'avons cru mort.
Puis, il revient à lui,
Il nous fait la fête,
ll titube et va manger ses croquettes.
Quand nous allons en courses, chez le médecin,
Nous lui expliquons qu'il ne peut nous accompagner
Il doit faire le gardien de la maison,
Mais jamais il a aboyé,
Et quand il l'a fait,
Nous sursautions;
Ces aboiements étaient bien rares
Quelquefois le loup,
Quand il trouvait le temps trop long seul.
Là, il avait un souffle au coeur,
Son état s'est aggravé en juillet,
Les prescriptions médicales ont été plus fortes.
Son taux d'urée est monté.
Et cette semaine,
Il nous a fait passé une nuit,
Cela a été la dernière.
Il est maintenant dans un autre monde.
Nous avons de suite rangé toutes ses affaires.
La maison est bien vide,
C'était l'enfant de la maison n'ayant pu avoir de bambins.
Mon mari le pleure,
Mais moi, je ne sais pas verser une larme,
Mais je l'appelle, comme s'il était encore là.
Je regarde la pendule pour le sortir.
Snoopy, nous t'avons eu treize ans.
Tu nous as fait passé de bons moments,
Nous ne pourrons pas t'oublier,
Si nous reprenons une autre bête,
Ce ne sera jamais toi.
Il faut maintenant tourner la page.
Nous gardons tous les bons souvenirs
Et tu resteras à jamais dans nos coeurs.
Reposes en paix, tu l'as bien mérité,
Rejoins tous tes copains et copines qui t'ont précédé,
Joue avec eux et vis une autre vie en leur compagnie dans le bonheur.
117 commentaires -
Par flipperine le 8 Octobre 2014 à 23:19
Ce n'est pas en FORD Taunus
Que je partirai vers d'autres FRONTIERES,
Je n'ai pas de permis.
Pourtant je suis FILLE de garagiste !
Je préfère rester en FRANCE,
Il y a tant à découvrir,
Aussi bien dans la FLORE et la FAUNE.
Au cours de mes promenades,
J'aimerai rencontrer un FAON.
Le dessin animé avec Bambi est si joli.
Je cueillerai des FRESIAS
Cela sent bon.
Ce serait en mémoire d'une amie trop tôt disparue.
Peut-être devrai-je prendre un FOULARD ?
En cette saison, le temps change si vite !
FATIGUEE, je rentrerai,
Face à la télévision, je me mettrai,
Je regarderai le FILM avec FERNANDEL,
Justement celui de la FEMME du boulanger,
Je ne me souviens pas l'avoir vu.
Je souhaiterai me rendre à FREGUS,
Je n'ai pas encore pu admirer cette ville et sa plage.
Mais pour le moment,
Tout cela est utopique.
Je préfère attendre le FACTEUR.
J'ai envie de recevoir des lettres de ma famille,
Et aussi de mes copains et copines.
Ceux en qui j'ai confiance,
Car rares sont les FIDELES amis.
Ceux sachant rester quand nous sommes dans la peine,
Ceux ne nous abandonnant pas quand un FAIT douloureux arrive.
Lorsque tout va bien,
Ils sont tous à FOISON autour de nous.
Ils se veulent être FIERS de nous entourer.
Une catastrophe arrive,
Beaucoup nous lâchent.
Ils se FONT même un plaisir de nous critiquer.
Je reconnais avoir une certaine FIERTE, même une FORCE,
Et ces personnes FRANCAISES ou d'un autre pays,
Je FERME les yeux devant elles.
Je veux être tranquille,
N'étant pas FAIEANTE,
Je préfère oeuvrer pour la bonne cause
Aidée par des gens sachant me soutenir
Tant sur le point physique et moral.
FORTE, je veux l'être,
Comme FAIBLE, je peux le devenir
Si je souffre trop.
Que vous m'appeliez FRACOISE ou FLIPPERINE
Selon si je suis sur mon blog ou pas
Vous êtes pour moi pour le moment,
De bons camarades, si ce n'est plus,
Comme des FLEURS bien épanouies
Dans un jardin non pas FEERIQUE
Mais dans mon coeur ouvert à tous
Car il est FORMIDABLE d'être appréciée et aimée
Et en plus l'amitié est FRAGILE,
Elle ne tient qu'à un FIL
100 commentaires -
Par flipperine le 8 Octobre 2014 à 00:17
Chrysanthèmes bientôt en fleurs,
Hiver les gèlera sans doute.
Rares sont ceux qui en réchappent.
Y-a-t-il un moyen de les protéger ?
Sur les tombes, ils seront déposés,
Oubliés toute une année.
Le choix de leur variété est vaste,
Ocre, blanc, violet que de couleurs ils ont !
Gardez le souvenir de nos anciens,
Une vie peut-être pas toujours évidente, ils ont eue,
Expliquez aux enfants, le respect, l'amour, la paix.
68 commentaires -
Par flipperine le 5 Octobre 2014 à 19:12
Maintenant, je suis en ville,
Je constate les jours plus courts.
Les températures sont encore bien clémentes.
Quelques feuilles jaunissent,
Elles tombent sur les trottoirs,
Ca craque sous les pieds,
Et gare à la chute, s'il pleut.
Des fleurs sur les balcons poussent encore.
Des arbres nous offrent encore des passiflores.
Mais tout cela ne vaut pas l'automne à la campagne !
Où là les dernières betteraves s'entassent le long des routes,
C'est la cueillette des champignons pour les lève-tôt.
Ceux sont les noix à ramasser,
Les cultivateurs préparent leurs champs pour les prochains semis,
Les chasseurs s'en donnent à coeur joie
Et les lapins, lièvres détalent.
Les pauvres s'ils ne vont pas assez vite,
Ils finiront en civets, en pâtés.
Les arbres prennent leurs couleurs rouges, dorés.
Les enfants trouvent des marrons,
Certains auront l'imagination d' en faire de petits objets.
Des vergers ouvrent leurs portes,
C'est tellement plus agréable de manger un fuit cueilli par ses soins.
Dans les écoles,
C'est la leçon sur la feuille,
L'élève a pris bien soin de choisir la plus belle,
Puis c'est la pomme,
Il a opté pour la plus brillante,
Et à la récréation, il la dégustera.
Les horticulteurs pensent à la Toussaint.
Dans les serres se préparent les chrysanthèmes.
Chaque année une nouvelle variété naît.
Les ménagères commencent à ranger le linge d'été.
Elles vérifient les pulls, les manteaux.
Bientôt, il faudra les mettre.
L'automne, une belle saison.
Le soleil peut encore luire,
Mais le brouillard fait son apparition
Et parfois même les premières gelées.
L'automne une saison riche en couleurs,
L'automne une période avec encore de bons fruits et légumes,
Et les écureuils et autre animaux font leurs provisions.
L'automne hélas annonce l'hiver.
Cela sent déjà les fêtes de fin d'année.
Certains se mettent à l'ouvrage pour un petit cadeau fait mains,
Cela a d'autant plus de valeur.
L'année passe vite en fait.
Chaque période a son charme.
Mais pour moi, j'ai une préférence,
C'est le printemps où tout renaît,
C'est l'été, là où il fait bon,
Et là, où nous parlons vacances,
Où nous espérons retrouver notre Savoie,
Et aussi un jour remonter dans le Nord
Où est toujours ma famille
Nous avons tous un besoin d'évasion.
Mais déjà en automne,
Il faut se méfier des intempéries,
Nous ne pouvons plus profiter des longues journées,
Il faut remettre sa petite laine,
Mais c'est la vie,
Un éternel recommencement,
Un train roulant vite, vite,
Une grande roue sans cesse en mouvements.
93 commentaires -
Par flipperine le 2 Octobre 2014 à 18:25
A notre EPOQUE,
A l'ECOLE,
La naissance de l'ENFANT ne nous ETAIT pas EXPLIQUEE.
Les garçons dans les choux,
Les filles dans les roses,
Ou c'était la l'ENORME cadeau de la cigogne.
Les plus ERUDITS des ELEVES arrivaient à savoir,
ET la leçon se faisait de bouche à oreilles.
L'enfant EST toute innocence,
Ses bêtises lui sont vite pardonnées.
Je ne sais pas pourquoi,
Mais j'ai toujours ETE attirés par EUX.
J'aime ETRE ENTOUREE de leur présence.
Mon frère et sa femme travaillant,
Mes parents et moi avons ELEVE leurs deux garçons.
Et à l'heure d'aujourd'hui,
Ils ne le regrettent pas.
C'est bien souvent qu'ils disent tu te souviens marraine...
J'allais les promener, les conduire au collège,
Je leur faisais visiter l'Eglise se trouvant sur notre chemin.
Je les aidais dans leurs devoirs et bien d'autres choses.
Il fallait leur donner à manger,
L'un des deux n'aimaient pas les EPINARDS.
Ils sont maintenant de beaux adultes bien calmes,
Et, l'EDUCATION reçue s'EN ressent.
Quand j'étais petite,
J'avais une poupée
Elle a même EMMENAGEE avec moi à Marseille.
Je l'avais appelée EMMANUELLE.
Et je m'étais promise
Si un jour j'avais un petit de lui donner ce prénom.
Prénom cité dans les EVANGILES,
Avec comme signification Dieu avec nous.
Mon compagnon et moi souhaitions fonder une famille.
Le bon Dieu ne nous pas donné cette chance.
L'heureux EVENEMENT n'est jamais venu.
Peut-ETRE aurait-il eu le prénom de Jean-Antoine
Si cela avait été un garçon,
En hommage à nos papas disparus pour l'ETERNITE.
Il faut bien admettre,
Cela nous manque.
Cela revient souvent dans nos ECHANGES.
Mais la vie en a décidé ainsi.
Nous n'avons pas eu droit à l'ECOGRAPHIE du futur nouveau né.
Nos ENVIES n'ont pas été comblés ENTIEREMENT.
A la place, nous avons recueilli un chien de la SPA
Peut-être avait-il nommé EPSILON
Mais pour nous c'est Snoopy.
C'est lui l'ENFANT de la maison.
Mais jamais il n'ENONCERA les mots papa, maman.
Maintenant, il est âgé.
Il suit un traitement prescrit par le vétérinaire de notre ENTOURAGE.
Comme nous, un jour, il partira pour le long voyage.
Nous contemplerons le ciel,
Nous verrons son ETOILE ETINCELANTE de mille feux.
95 commentaires -
Par flipperine le 1 Octobre 2014 à 00:00
Zut, jamais je n'aurai cru
Oser appeler une voiture de ce nom
Enoncer un prénom pour un objet, une chose, une honte, un déshonneur
77 commentaires -
Par flipperine le 25 Septembre 2014 à 23:48
Je viens de créer un compte facebook sous le nom de flipperine boulogne
Si cela vous intéresse d'être amis avec moi, faites une suggestion merci
80 commentaires -
Par flipperine le 24 Septembre 2014 à 23:10
Ah, j'en connais des DOCTEURS !
Mes parents ont DU DES mon enfance les appeler.
Le premier, le médecin de famille,
C'était le DOCTEUR DUBOIS.
En même temps, il était président de notre groupe.
Il nous avait conviés chez lui DANS son jardin
Pour la photo de la pochette de notre DISQUE.
Il nous avait offert un apéritif DINATOIRE.
Ne pouvant DONNER une réponse à ma maladie,
Il nous avait envoyé à DOUAI.
Il avait également fait venir son fils,
Il se DESTINAIT à la médecine.
Il voulait apprendre à DIAGNOSTIQUER une bronchite.
Hélas son père est DECEDE lors de l'ouverture de la chasse.
Un DIMANCHE, cette activité était son DADA.
Puis de DOUAI où cela n'avait rien amené,
Ce fut Lille,
Nous fûmes là aussi bien DESAPOINTES.
Nous sommes allés à Paris
Et c'est là que j'ai appris à monter et à DESCENDRE les escaliers
Au restaurant où nous allions DINER.
DANS cette ville, nous avions mis tous nos espoirs.
Quelle DECEPTION lorsque le professeur a annoncé :
C'est un handicap rare et c'est à vie.
Il a le DESAVANTAGE d'offrir des DIFFICULTES pour se vêtir et se chausser.
DIEU n'avait pas exaucé toutes nos prières.
Je ne serais jamais DELIVREE de ce mal.
Pour me soulager, je pars DONC en cure.
La première c'est à DAX,
Puis Rochefort et ensuite la LECHERE
J'en ai DECOUVERT des paysages.
Et là-aussi je DEVAIS DIRE ce que j'avais.
Peu de médecins connaissent cette maladie.
Je leur DEFINISSAIS tous les symptômes et les explications.
Cela ne pas empêché de DENICHER mon DIVIN compagnon.
Je suis DEVENUE tout De même une femme à part entière,
Même si je ne suis pas toujours DETENDUE,
Et si certaines activités me sot DEFENDUES.
Comme on peut DECLARER, j'ai DEBARQUE à Marseille
Avec en ma possession une quantité DE lettres,
Elles avaient toutes été DICTEES grâce au DICTAPHONE
Avec aussi des DESSINS où sont notés DES mesures,
Non pas en DECIMETRES mais en centimètres.
Aujourd'hui encore, je vois DIFFERENTS DOCTEURS.
Ils me DELIVRENT les médicaments pour me soulager.
Ils écoutent mes angoisses, mon DESESPOIR aussi
Ils m'encouragent aussi.
DOCTEUR n'est pas un métier,
C'est une vocation,
C'est avoir beaucoup DE patience avec tous les malades,
Un DUR labeur,
Ils ont de graves DECISIONS à prendre et à annoncer
Il ne faut pas non plus les prendre pour des DEVINS,
Ils ne peuvent pas parfois DEFINIR et DETAILLER tous les maux.
Mais ceux des hommes, des femmes dont nous ne pouvons nous passer.
97 commentaires -
Par flipperine le 24 Septembre 2014 à 00:00
Hésiter n'est pas toujours bon !
Ecouter sa petite voix,
Lorgner l'autre pourquoi ?
Marcher d'un pas décidé
Un rêve peut devenir réalité
Toujours garder confiance en soi !
64 commentaires
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