Avant ce centenaire de la guerre 1914-1918,

Les JACOBINS se sont également battus.

JADIS, les agriculteurs tiraient leur charrette avec la JUMENT ou les boeufs.

JOHNNY a toujours ses idôles,

JOUBERT, l'un des anciens compagnons de la chanson nous a bercé  avec mes JEUNES années,

Et là, dans la vallée des Pyrénées fleurit le JASMIN.

Il est arrosé par l'eau du torrent JAILLISSANT du haut des sommets.

Heureux, les personnes possédant un bout de terrain,

Elles y cultivent les légumes,

Elles y cueillent les fruits du verger,

En ce moment, elles ramassent les feuilles JONCHANT le sol.

Ici, JE me contente du balcon.

Mon mari s'occupe de l'extérieur,

Déjà les JACINTHES pointent leur bout de nez dans leurs JARDINIERES.

Moi, je me charge des plantes de l'intérieur,

Peut-être y en a-t-il une venant de JAVA,

Mais je ne connais pas toutes leur nom,

Je n'ai pas de bonzaï en provenance du JAPON,

Personne n'a pensé à me ramener une pousse de son voyage de la ville JERSEY CITY.

Je n'ai pas pris ma JAGUAR pour aller JUSQUE la JARDINERIE.

Il n'y a pas que les fleurs à JARDINER.

Nous pouvons JONGLER avec les mots,

Tout en faisant les mots fléchés ou croisés,

Tout en écrivant de JOLIS poèmes.

Nous pouvons JOUER aussi,

Il y a les parties de cartes avec JOCKERS,

JACQUES préfère le JACQUET.

Sur un terrain de football, les JOUEURS des deux équipes se rencontrent.

D'autres préféreront aller au casino,

Ils espèrent gagner le JACKPOT.

Le dimanche, la famille se réunira pour le traditionnel JOGGING.

Ensuite, les femmes se changeront,

Et elles porteront un collier en JADE.

JOYEUX sera tout ce monde.

Et, JAMAIS, je n'aurai eu les JOUES aussi rouges pour faire un défi,

Tout en espérant avoir un bon JUGEMENT.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elu par notre Dieu,

Loué, prié par les croyants

Ouvrier du fer, de l'agriculture,

Ignoré bien souvent le premier décembre.

 

 

 

 

 

 

 

Tout d'abord écrire avec un pseudonyme,

Cela m'a été plus facile.

J'ai pu oser dire des choses,

Qui sans lui n'auraient pas été.

Flipperine, avant tout,

J'aime les dauphins,

Sans doute un souvenir du feuilleton

Flipper le dauphin,

Des aventures bien passionnantes.

Le ine pour féminiser le nom.

Cet animal a un air bien sympathique.

J'ai l'impression de le voir toujours souriant.

Et avec mon vécu,

Cet acte m'est difficile.

Aujourd'hui, j'ai compris toutes mes erreurs commises,

J'ai trouvé un autre chemin de vie,

De part les ateliers où j'ai assisté.

J'ai pu ouvrir les yeux,

La compréhension de m'admettre avec mon handicap,

L'attitude d'avoir la vision où la confiance se trouve.

Il ne faut pas tomber dans les bras des premiers venus,

Il faut savoir prendre le temps de connaître la personne.

Il faut également oser partir si le climat ne nous convient pas.

Chez le dauphin, je retrouve tout cela inné en lui.

Il s'approche des gens s'il sent qu'il sera apprécié,

Il a un besoin d'évasion,

Comme moi j'en éprouve la nécessité,

Lorsque le moment arrive de me ressourcer,

Le moment de méditer, voir de prier.

Si je collectionne ce cétacé,

C'est un besoin de rêve,

Un besoin aussi de voir que nous pouvons être nombreux.

Dans un collection, nous avons toujours des préférences pour un ou deux

Comme d'avoir un véritable ami n'est pas une chose facile.

Et, si maintenant, j'ouvrirai un autre blog,

Je me permettrai sans doute de prendre mon véritable prénom,

Et chose étonnante, tous les deux commencent par la même lettre.

Aussi, j'utiliserai certainement plus souvent le pronom je,

Le elle, il passerait plus inaperçu.

Car enfin, je commence à comprendre :

C'est à moi que je dois plaire,

C'est à moi de me sentir bien dans ma peau,

C'est à moi de me faire plaisir,

C'est à moi de me complimenter.

Ce n'est pas pour cela que l'autre je ne l'aiderai pas,

Mais j'y passerais moins de temps

Car rares sont les mercis, les mots d'encouragement,

Quand ce n'est pas des injures que je reçois.

Et le jour où je suis dans le pétrin avec mon compagnon,

Peu viennent nous épauler,

Peu nous écoutent,

Peu nous encouragent,

Peu se proposent à nous aider pour débrouiller nos problèmes.

Et, comme le dauphin,

Je nagerai vers d'autres horizons,

Là, où la terre est plus chaude et sereine.

 

 

 

 

ISIDORE vit en IRLANDE,

Il aime à se rendre dans les bars,

Où là, il noie son chagrin dans l'alcool,

Mais hélas, cela lui coûte cher,

Il en sort IVRE, 

Ses amis le reconduisent en IBIZA,

Elle fait office de taxi.

Peut-être j'aurais aimé connaître ISAIE,

Ce prophète m'aurait-il annoncé ma vie future,

Où certaines personnes me prennent pour une IVROGNE.

Mais, je préfère me rendre à ISOLA 2000, 

Là, je verrai de belles montagnes.

Mais c'est sûr, je ne trouverais pas d'IGUANE,

Il préfère les régions chaudes de l'Amérique.

J'y verrais certainement des IFS toujours bien verts.

A la période de Noël, ils s'ILLUMINERAIENT  de mille feux.

Pour jouer, les enfants se feront un IGLOO

Où là, ils regarderaient des IMAGES de sportifs

Et se les échangeraient, s'ILS les ont en double.

Certainement, je pousserais une pointe jusqu'en ITALIE,

A la frontière, je devrais certainement décliner mon IDENTITE.

Et là, je visiterais des églises parées de belles ICONES.

En souvenir de ces voyages,

Je rapporterais de merveilleuses ILLUSTRATIONS

Où nous pourrons voir de jolis paysages.

Là, les IRIS y sont magnifiques.

Quelle IVRESSE de vivre de pareils moments

Où rien ne vient nous IRRITER.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Souvenir pour ceux partis pour le long voyage,

Oubli ne peut exister,

Porter une fleur au cimetière une tradition,

Honneur, Hommage nous leur faisons,

Rouges, jaunes, blancs, violets seront les chrysanthèmes,

Ornement des tombes bien souvent souvent laissée à l'abandon durant l'année,

Naturelles ou artificielles seront les bouquets,

Une journée ne peut passer sans avoir une pensée pour eux,

Eternelles est leur âme, leur présence dans nos coeurs.

Pour le défi : http://devenir-ecrivain.com/jeu-ecriture-logorallye/

7 mots imposés

 

Je n'irai pas en AFRIQUE,

Il y a tant de belles régions en France.

De la mer du nord, la Manche,

l'Océan Atlantique, la Méditerranée,

Nous sommes gâtés en plages.

Plages de sable,

Plage de galets,

La Bretagne avec sa côte sauvage,

Le lieu de prédilection

Où le CRABE est le crustacé recherché des gourmets.

Vous n'aimez pas la mer,

Direction la campagne,

Où les champs prédominent.

Dès le printemps, tout y est VERT.

Vous prenez la direction de l'Alsace,

Les fenêtres sont ornés de pots de GERANIUMS,

Ils sont les rois des balcons

Avec leurs belles couleurs.

Originaire du Nord,

En bon patois,

Je dirais

"Je suis toute CRUE",

J'ai reçu l'averse sur le dos.

Ailleurs personne ne comprendrait,

Je suis tout simplement mouillée.

Je n'ai pas l'intention d'aller voir un DEVIN.

Nul ne connaît l'avenir.

Je me contente de vivre pleinement le présent,

Je savoure les bons moments,

Tout passe si vite.

Le diseur de bonne aventure prend bien des risques,

Il peut être DECHU de ses droits,

Il annonce tant de nouvelles erronées,

Il cause de la peine à bien des personnes,

Il promet monts et merveilles

Et rien ne se réalise.

En conclusion, vivons notre vie,

Choisissons le bon chemin,

Ne craignons pas de changer de route,

Si nous nous sentons mal.

Osons nous faire plaisir,

Offrons un sourire,

Tendons la main à notre voisin,

Aimons nous les uns les autres.

 

Ce n'est pas de l'HIRONDELLE que je parlerai,

Elle est partie vers les pays chauds, peut-être l'HONDURAS.

Ce n'est pas de l'HERISSON que je parlerai,

Il prépare sa période d'HIBERNATION.

Ce n'est pas de l'HONDA que je parlerai,

Je suis pas une fan de cette marque de voiture.

Ce n'est pas de l'HELICOPTERE que je parlerai,

Je n'ai pas encore pas encore passé mon baptême de l'air avec.

Ce n'est pas de la HOLLANDE que je parlerai,

La période des champs de tulipes est terminée.

Ce n'est pas de l'HIMALAYA que je parlerai,

C'est beaucoup trop HAUT pour y accéder.

Ce n'est pas de HONFLEUR que je parlerai,

La saison touristique est passée.

Ce n'est pas de HARLEM que je parlerai,

Jésus aurait les yeux d'un enfant noir.

Ce n'est pas de l'HORTENSIA que je parlerai,

Il ne pourrait pousser sur mon balcon.

Ce n'est pas de l'HIBISCUS que je parlerai,

Il resterait nain dans un pot.

Ce n'est pas d'une HUTTE que je parlerai,

Je ne pourrai y vivre, c'est trop petit.

Ce n'est pas de l'HAVANE que je parlerai,

Je ne fume même pas la cigarette.

Ce n'est pas d'HITLER que e parlerai,

Il doit être dans les feux de l'enfer,

Tant de gens ont HURLE de sa faute.

Ce n'est pas de la maison d'HACHETTE que je parlerai,

Les livres y sont bien trop nombreux.

En fait avec le H, je ne peux par parler de grand chose.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Feuilles tombent en tourbillonnant,

L'oiseau prend son envol pour des contrées plus chaudes,

Orne les murs la vigne-vierge toute rouge,

Rangement des tenues légères,

Il faut prévoir le ramonage des cheminées,

Moustiques, hélas, toujours présents nous piquent encore,

Oublier l'heure de l'été,

Nuit plus profonde,

Déjà les fêtes de fin d'année approchent.

Un petit mot tout simple.

Aujourd'hui nous l'entendons de moins en moins.

Pourtant, il faut encore apprendre à l'enfant de le dire.

Des mercis, il y a en tant.

Merci pour tous ces beaux paysages,

Merci pour ce soleil,

Merci pour la lune,

Merci pour le jour,

Merci pour la nuit,

Merci pour le beau temps,

Merci pour la pluie,

Merci pour toutes ces belles saisons,

Merci pour toutes les jolies fleurs,

Merci pour ces grands arbres,

Merci pour ces bons fruits

Merci pour le doux chant des oiseaux,

Merci à tous ces animaux nous rendant une vie plus heureuse,

Merci à nos bêtes de compagnie comblant notre solitude.

Merci à nos parents faisant tout pour nous,

Merci lorsque nous recevons quelques chose,

Merci pour les paroles énoncées,

Merci pour nous faire découvrir l'amitié,

Merci pour l'amour trouvé,

Merci de voir des enfants heureux de vivre,

Merci d'avoir nos anciens pour nous raconter l'histoire.

Merci de ne pas se sentir exclus même si nous avons un handicap,

Merci de pouvoir chanter juste ou faux qu'importe,

Merci d'avoir la parole pour communiquer,

Merci de pouvoir verser des larmes pour exprimer notre peine,

Merci de rire quand le moment s'y prête,

Merci de pouvoir passer de bons instants,

Merci d'être entourés de bonnes personnes,

Merci de pouvoir être consolés

Merci de pouvoir nous déplacer même si parfois c'est difficile.

Merci pour une santé retrouvée,

Merci à tous ces médecins toujours plongés dans la recherche,

Merci déjà pour tous les miracles réalisés sur les patients,

Merci à tous ceux pouvant nous soulager,

Merci d'avoir trouvé le langage des signes pour les sourds et muets,

Merci d'avoir trouvé l'alphabet braille,

Merci de pouvoir prendre la plume pour narrer notre existence,

Merci de pouvoir écrire afin de nous libérer,

Merci d'avoir découvert l'imprimerie pour le livre,

Merci de nous avoir appris à lire pour apprendre ou à se détendre.

Merci de tout le progrès offert par les chercheurs,

Merci pour le simple ouvrier,

Merci pour celui pouvant nous dépanner dans tous nos ennuis du quotidien.

Merci de trouver des lieux de recueillement,

Merci à Dieu d'avoir créé le monde,

Merci à Dieu de nous avoir donné son fils,

Merci à Jésus d'avoir donner le commandement de s'aimer les uns les autres,

Merci à Marie, notre mère du ciel restant toujours à notre écoute,

Merci à la colombe au rameau d'olivier cherchant toujours la paix.

Merci, cinq petites lettres,

Cinq petites lettres importantes,

Cinq petites lettres faisant toute notre vie

Cinq petites lettres étant dans notre quotidien

Cinq petites lettres faciles à prononcer.

Alors merci, ne le chuchotons pas

Alors merci, crions le bien fort.

 

 

 

 

 

Mon GRAND-père prénommé GABRIEL et c'est vrai,

Il tenait un GARAGE.

Son local de travail une GRANGE.

L'âge faisant,

Il a cédé son affaire à mon père.

Mais il continuait à aller chercher les pièces.

Il allait chez Ford, pour une GRANADA.

Il emmenait avec lui ses petits enfants

Et c'est là où j'ai trouvé mon futur métier.

Ne pouvant être mécanicienne,

Je fus secrétaire-comptable.

Après mon bac G2,

Mon père m'a embauchée.

Il a dû faire des travaux pour GRANDIR le bâtiment.

Et là, j'ai retourné le GRAVIER, le ciment.

Cela me plaisait.

Puis j'ai eu mon bureau,

Avec comme tapisserie de l'écossais.

C'était un rêve de réalisé.

Nous avons passé par plusieurs enseignes :

De Simca, à Chrysler, puis Talbot,

Ensuite Peugeot Talbot, Peugeot,

Et nous avons terminé agent Citroën.

Il réparait aussi de GROS camions,

Véhicules livrant des  GERANIUMS, des GRENADIERS,

Pour cela il prenait des positions comme les GYMNASTES.

Un concours du meilleur vendeur a été organisé,

Papa a GAGNE non pas un voyage pour la GRECE,

Mais destination l'Andalousie.

Un voyage en avion où il a fallu GRAVIR quelques marches pour y monter.

Là, il 'y a pas de GIRAFES,

Mais de belles danseuses, de jolis paysages.

Il était accompagnée de maman,

Ils en ont GARDE des bons souvenirs.

Un voyage qu'il n'aurait pu jamais faire.

Il prenait ses congés.

Sa destination, la Bretagne,

Un petit village près de GUERANDE,

C'était Piriac sur Mer.

De beaux GLAIEULS fleurissaient les jardins.

C'était le lieu de séjour préféré pour nos vacances,

Nous GRIGNOTIONS les bons fars aux pruneaux

Accompagnés d'une bolée de cidre.

Ils partaient non pas avec des ongles GRS,

Ils étaient noirs de GRAISSE,

lls rentraient avec de belles mains roses.

Les bonnes choses ont une fin,

Il fallait retrouver le GARAGE.

Des GAMINS passaient,

Ils admiraient les voitures neuves

Et aussi notre berger allemand.

Nous ne l'avions pas appelé GENERAL,

C'était notre SONNY.

Il restait derrière la GRILLE durant la journée.

Le GARDIEN du lieu la nuit.

Puis il fallait faire les factures, les douloureuses pour les clients,

Je devais déchiffrer les GRIBOUILLIS de l'ouvrier et de papa.

Nous ne pouvions pas dire: l'écriture est belle et nette.

Des vedettes sont venues faire contrôler leur véhicule,

Jamais nous avons vu GARCIMORE et ses souris GRASSOUILLETTES.

Ici, au Sud, je n'ai pu retrouver un tel emploi.

Mais que d'images j'ai GARDEES.

C'était mon milieu.

Chose étonnante,

Mon compagnon n'était pas GARAGISTE,

Mais un mécanicien autos.

Comme quoi les montagnes peuvent se rejoindre

Et vivre en parfaite harmonie

Et aussi chanter la GLOIRE de l'amour trouvé

Tout en quittant sa région natale.