• Une vie

     

     

     

     

     

    J’étais un enfant,

    Je n’avais pas encore de la SUITE dans les idées,

    A la radio, SALVATOR Adamo chantait.

    Je ne comprenais pas encore quand le SOLEIL brillait,

    La SAUTERELLE SORTAIT.

    Je ne pouvais jamais l’attraper.

    Elle n’arrêtait pas de faire des SAUTS.

    Il n’était pas encore question de partir en vacances en SUEDE,

    Ce n’était pas encore la mode des grands voyages.

    Mes parents avaient une SIMCA.

    Le SIEGE-auto n’était pas encore obligatoire.

    Plus tard, je SUIS devenue SECRETAIRE-comptable au garage.

    Quand j’ai SU faire du vélo,

    J’allais jusqu’à SAULZOIR, petit village du Nord porter les factures.

    En même temps, je faisais du SPORT.

    Dans le jardin, poussaient des SOUCIS,

    Par qui avaient-ils été SEMES, cela reste un mystère.

    Je les cueillais,

    J’allais les offrir à maman avec le SOURIRE.

    Le SERINGA du voisin sentait si bon,

    Parfois avec le SECATEUR, nous coupions les branches venant chez nous,

    Nous en faisions des bouquets odorants pour la maison.

    Les années ont passé,

    Tout cela, ceux sont des SOUVENIRS.

    J’ai volé de mes propres ailes.

    A SALINS les thermes, STATION balnéaire en SAVOIE,

    J’ai rencontré l’amour.

    Nous retournons tous les ans faire notre cure dans cette région.

    Nous nous promenons dans le SENTIER menant à la cascade du Morel,

    Nous nous mettons à l’ombre des SAPINS.

    Nous entendons SONNER les cloches des villages voisins.

    Ils SONT SITUES près du SOMMET de la montagne.

    Nous empruntons aussi les routes SINUEUSES et étroites pour visiter le coin.

    Une fois rentrés, nous SAVOURONS les diots accompagnés de crozets au SARRAZIN.

    Le SEIGNEUR a bien fait la nature tout de même,

    Un SPECTACLE à admirer tous les jours de la SRMAINE.

    Chaque année, nous n’oublions pas de fêter la SAINT Valentin,

    Là nous SOMMES dans notre appartement à Marseille

    Où de SERIEUX évènements se déroulent

    Et les SOLDATS sont obligés montent la garde devant certains bâtiments.

    Cela ne fait pas une bonne publicité pour la cité phocéenne.

    Nous SOUHAITONS vivement voir tout cela rentrer dans l’ordre

    Afin de ne plus avoir la crainte de SORTIR SURTOUT le SOIR.


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  • Clotaire

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Couleur rouge, la rose attend chez le fleuriste,

    Liberté d’aimer malgré une religion différente,

    Offrir son cœur à l’être élu,

    Tendrement les amoureux s’enlacent,

    Amitié sincère peut  devenir plus forte,

    Invitation se lit sur les visages,

    Restaurants pleins avec les tables de deux êtres,

    Encore une fête à ne pas oublier, mais c’est encore du commerce.


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  • REVER

     

     

     

     

     

    Chacun  de nous REVE,

    REVE de faire un beau voyage,

    Aller découvrir de nouvelles REGIONS.

    Pourquoi ne pas vouloir aller visiter RIO,

    Plus près de chez nous,

    Voir la ville de ROUEN.

    Certains pensent à la ROUMANIE.

    D’autres font le REVE,

    Avoir un animal,

    Mais ils ne veulent pas le ROITELET en cage,

    Ils aiment mieux l’entendre chanter dans la nature,

    Ils préfèrent posséder des RUCHES

    Là, ils pourront déguster le bon miel.

    Des gens songent à posséder un jardin,

    Ils y planteront des ROSIERS,

    Ils feront de beaux bouquets de ROSES pour leur bien aimée,

    Ils n’oublieront pas d’enlever les RONCES,

    Elles envahissent facilement le terrain.

    Ils laisseront une petite place pour leurs enfants

    Ils pourront y mettre des RADIS.

    Il y en a avec des idées de grandeur,

    Ils souhaitent posséder une ROLLROYCE,

    Ils veulent épater les copains.

    D’autres ne se contenteront de leur bonne vieille RENAULT.

    Moi, je REVE,

    Je me vois en ROBE avec des bottes,

    Avec des longs cheveux ROULES en un chignon.

    Je me vois RIRE avec mes amis,

    Je me vois ROUGIR de honte si je n’arrive pas à m’exprimer,

    Je me vois RALER si je n’arrive pas à mes fins,

    Je me vois RENDRE le monde plus beau

    Aidant ceux dans la souffrance,

    Je me vois RISQUER demander de l’aide.

    Je me vois ROULER en bicyclette,

    Je me vois jalonner les ROUTES sinueuses des montagnes de France,

    Je me vois RAMASSER les fruits de mer pour mon plus grand REGAL,

    Je me vois me RENDRE dans un grand RESTAURANT,

    Je veux y savourer les mets les plus fins,

    Maintenant les gens préfèrent ouvrir une boîte toute prête de RAVIOLIS.

    Je me vois durant mon enfance,

    Je mangeais les bons ragoûts cuisinés par mes tantes.

    Je me vois RELIRE les contes à une RIBAMBELLE d’enfants

    Je me vois rendre la liberté au ROUGE-GORGE guéri de ses blessures

    Je me vois RIVALISER sur des skis avec les plus grands RANDONNEURS.

    Enfin, je me vois atteindre l’inaccessible étoile

    Afin de RETROUVER ceux déjà partis pour le long voyage

    Et me dire RAISONNABLEMENT ton heure n’est pas encore venue.

    Tu dois encore agir, donner de l’amour,

    ROULER ta bosse pour offrir du bonheur,

    Et RETROUVER le goût de vivre,

    REMPLIR une mission non encore terminée.


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  • Barbara

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Boire un petit coup,

    Alcool, danger au volant.

    Rouler dessous la table,

    Boisson anisée en trop grande quantité.

    Arroser un heureux événement,

    Régime oublié.

    Assister à de bons moments amicaux….


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  • POURQUOI

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    POURQUOI cela m’est-il arrivé ?

    Certes, je ne suis pas BANCALE.

    Tour au long de ma VIE,

    Ce handicap sera comme un FARDEAU.

    Il y a des jours où la DOULEUR est présente.

    J’ai beau LIRE,

    Mais cette maladie sera toujours en moi.

    Peut-être avec le TEMPS,

    Il y aura une solution à mes problèmes,

    Pour le moment,

    La RESILIENCE est en moi.

    J’ai bien CONSCIENCE,

    Me plaindre ne servira à rien,

    Comme nous pouvons le constater

    Il y a pire ailleurs.

    Des REGRETS, il y a en a eu,

    Avoir vu un médecin de notre capitale,

    Avoir subi des opérations,

    Et en final s’entendre dire,

    C’est pour la VIE,

    Il faut l’accepter et le subir.

    Je reste avec la SIDERATION

    D’entendre :

    Mais elle n’a rien,

    Nous pouvons la voir partout.

    Certes, les chemins SINUEUX,

    J’en ai peur et les évite.

    La TENACITE d’y arriver je l’aie.

    Le jour où je me sens plus fatiguée,

    Je m’efforce tout de même de faire le TOUR de mon quartier.

    Voyant les autres,

    Parfois, je n’ai pas le CŒUR à RIRE,

    Ils sont libres de leurs mouvements.

    Sur SCENE, je suis quand même montée.

    Je faisais partie dans le  Nord d’une chorale,

    Nous nous présentions en concert.

    Il fallait voir les yeux SCINTILLES de notre public.

    Personne n’a jamais tenté de réaliser une AQUARELLE de notre groupe.

    Il y avait les journalistes avec leurs appareils photos.

    Ils immortalisaient ces bons moments

    Où nous faisions une belle SYMPHONIE.

    Où chacun faisait de son mieux,

    Certes toutes les voix n’étaient pas toujours justes,

    La mienne en première.

    MALGRE cela, personne n’était rejeté de ce groupe.

    Puis un beau jour,

    J’ai eu le cœur DECHIRE,

    Papa est parti pour le long voyage,

    Cela a été un grand VIDE dans ma vie.

    Autour de moi a régné le SILENCE.

    Je pensais avoir des amis,

    Mais non, ils m’ont laissée seule.

    Tout cela a été une grande PARENTHESE dans ma vie.

    Un beau jour,

    J’ai rencontré l’amour,

    Je n’y croyais plus.

    N’ayant plus d’emploi dans le Nord,

    J’ai pris mon Envol dans le Sud.

    Je suis arrivée à Marseille.

    J’y coule des moments heureux

    Tout en gardant l’esprit du Nord

    Surtout ne voulant pas oublier mon accent.

    Je ne veux pas le perdre,

    Il fait partie de mes racines,

    Je ne peux les renier

    Surtout que tous les miens sont toujours dans le Cambrésis,

    Et d’autres dans le Pas de Calais.

    Certes, des reproches, j’en ai parfois,

    Surtout celui de parler fort,

    Mais à la maison,

    Il fallait couvrir le son de la malterie,

    Usine en face de chez moi,

    Où l’orge y germait

    Pour la fabrication d’un malt

    Un composant de bonnes boissons : la bière, le whisky.


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  • Vidal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Voir le ciel bleu,

    Inspirer le bon air pur de la mer, de la montagne, de la campagne,

    Découvrir les régions et les coutumes,

    Aimer, respecter notre pays : la France,

    Liberté, égalité, fraternité est sa devise.

     

     

     


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  • Le permis de conduire

     

     

     

     

     

     

    De la Pologne, durant la guerre,

    Des hommes et des femmes sont venus dans mon village.

    Ils remplaçaient au travail des champs

    Les courageux habitants Partis au combat.

    Mon Père n’était Pas un Plombier,

    Il était le Patron d’un garage.

    Il conduisait sa famille en Peugeot durant les vacances,

    Dans notre lieu de Prédilection : Piriac sur mer

    Après mes dix-huit ans,

    Je décidais de Passer le Permis de conduire.

    Avec le moniteur, nous faisions des manœuvres dans Proville.

    Le code de la route, Pas de Problème,

    Je l’ai eu haut la main.

    Hélas Par trois fois, la conduite c’est vouée Par un échec.

    Avant le départ pour l’examen, je Piétinais et m’énervais,

    L’inspecteur m’impressionnait.

    Je Perdais tous mes moyens.

    Pourtant avec Papa en  candidat libre,

    Je roulais à la Perfection.

    Je n’ai jamais eu ce Petit Papier rose tant souhaité.

    Les Pivoines Poussant près du Prunier ne m’ont jamais été offertes.

    J’aimais aller voir dans la cour de la ferme,

    Le Paon faisant la roue.

    Avec les Plumes tombées, je faisais un bouquet.

    Aujourd’hui, nous nous déplaçons en Picasso

    Tout en écoutant la radio,

    Bien souvent, nous entendons Pierre Perret et ses grands succès.

    En y Pensant bien,

    C’est Pour moi la honte,

    Une fille de garagiste,

    De ne Pas Posséder le Permis

    Et de ne pas Prendre le volant

    Afin de relayer mon compagnon lors de grands Parcours

    Pourtant, en voiture,

    Je reconnais râler en voyant les erreurs commises par les conducteurs

    Et maintenant, attention,

    Des caméras de vidéo-Protection sont installées.

     


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  • Toinette

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Toujours dire la vérité,

    Oser jouer avec les mots,

    Inventer pour rêver,

    Nager entre deux eaux,

    Ecrire  pour se changer les idées,

    Tenir compte du défi proposé,

    Trouver un moment pour s’évader, s’éclater,

    Entendre les sons du cœur.


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  • Un grand voyage

     

     

     

     

     

    Je me prépare pour un grand voyage.

    Après avoir lu un livre d 'Ormesson,

    Un questionnaire était posé.

    J'ai gagné le gros lot !

    Une semaine sur l'Océan en paquebot.

    Avant de partir,

    J'ai mis de l'Ordre dans la maison,

    Je laisse mes neveux,

    Je leur prie de ne pas Offenser papy et mamie,

    Ils ne sont plus très jeunes.

    Ne voulant pas laisser ma voiture sur le parking,

    Mon Oncle se propose de me conduire à Orly.

    Nous partons en Opel.

    L'avion me mènera jusqu'à Oléron.

    C'est là Où j'embarque sur le bateau.

    Nous voilà partis.

    Je ne crois voir l'Ouganda.

    Par contre, je me sens Oppressée,

    C'est ma première grande évasion.

    Sur le pont du navire,

    Des parasols sont installés,

    Il faut chercher l'Ombre.

    Au loin, l'Orage gronde.

    Je suis un peu déçue,

    Je ne vois pas de dauphins,

    A la place, je découvre une Otarie.

    Des Oiseaux de toutes les couleurs volent dans le ciel.

    Je prends mon appareil photo avec son gros Objectif.

    Je fige ces bons moments.

    Tout à coup, la cloche sonne,

    C'est l'heure du repas,

    La foule se rend dans le restaurant.

    On y choisit son plat.

    Un apéritif nous est servi,

    C'est un cocktail à base d'Oranges.

    Je demande du poisson,

    C'est mon péché mignon.

    Il est accompagné d'une sauce à l'Oseille et des Oignons farcis,

    Un régal !

    Il ne pas Oublier les parents et amis,

    Je me dirige vers la boutique,

    Là, je trouve des cartes postales,

    Aussi de menus Objets pas très Onéreux.

    Je pourrai Offrir des petits cadeaux.

    Hélas, tout bonne chose a une fin,

    Déjà, nous sommes sur le chemin du retour,

    Je suis contente,

    Je n'ai pas eu le mal de mer,

    J'ai vu de jolis paysages,

    L'eau était d'un bleu turquoise,

    On pouvait y apercevoir de jolis poissons,

    Tant elle était claire.

    Ce court séjour s'est déroulé sans Obstacle.

    C'est décidé,

    J' Ouvrirai toujours la radio, la télévision, les journaux,

    Des concours y sont proposés,

    Peut-être aurai-je une seconde chance ?


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  • Hugo

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Honte, tu envahis les hommes

    Un moment de méditation est nécessaire ;

    Gardons le sourire, la force d’agir,

    Ouvrons nos cœurs à l’amour et la paix


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