[img]http://gif.supertoinette.com/i/amitie/amitie-030.gif[/img]

 

 

Les vrais amis, ce sont  les inconnus, ceux et celles que l'on ne connaît pas, que l'on rencontre par hasard. Les vrais amis sont des gens de passage mais qui retrouvent toujours vos traces et dont vous retrouvez toujours le sourire. (E.Cocke)

 

 

Le coeur d'un enfant, c'est grand. L'amour s'y déverse en cascade (M. Jonsaz)

 

Chaque moment difficile te rappelle d'apprécier chaque moment de bonheur que tu as reçu.

 

Il en est de l'amitié comme de la pureté, la moindre flétrissure suffit à en troubler la transparence (F. Albéroni)

 

En te levant, le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux et d'aimer.

 

Les beaux jours sont là,

Les oiseaux chantent,

Les fleurs s'ouvrent,

Les bourgeons éclosent.

Le papillon virevolte.

Il se pose sur une pâquerette.

Il ouvre les ailes,

Il est heureux.

La pâquerette n'est plus seule.

Tous les deux entament la conversation.

Ils parlent de la pluie, du beau temps.

Ils fraternisent,

Ils se content leurs peines, leurs joies,

Ils se réconfortent l'un et l'autre.

Plusieurs jours de suite,

C'est la rencontre.

Maintenant, ils sont amis.

Et, un matin,

Le papillon arrive.

Le sol est vide.

La pâquerette est disparue.

A-t-elle été cueillie ?

A-t-elle été piétinée ?

Le papillon ne comprend pas.

Il se sentait bien avec elle.

Désormais, il semble bien seul.

Il a perdu sa confidente.

Il aq le coeur gros,

Il pleure.

Et, d'un coup,

Il reprend son envol.

Il part vers un autre lieu.

Il n'a plus d'ami.

Il lance une prière.

Oh, Seigneur, entends mon appel !

Une petite voix en son coeur répond.

Gentil papillon,

Sur Moi, tu peux te reposer,

N'importe où, tu iras,

Je serais avec toi.

Le papillon se console.

Merci, Seigneur, je suis ton ami.

Toi. Tu n'abandonnes personne.

 

Ce matin, tout est animé,

Les cloches sonnent,

 De Rôme, elles sont revenues

Elles étaient bien chargées.

Dehors, les enfants se précipitent.

Ils cherchent dans les allées.

Ils trouvent des oeufs colorés,

Des poules, des lapins....

Un nouveau parfum est dans l'air,

Le c hocolat  embaume,

Ce ne sont que des cris.

J'ai trouvé !

Les paniers sont remplis.

C'est la joie sur leur visage,

Les parents sont ravis de ce spectacle.

Et, les oiseaux piaillent,

Les fleurs s'ouvrent,

Les bourgeons éclosent,

Tout  reverdit.

Le printemps est bien là,

Tout renaît,

Tout passe de la mort à la vie,

Le Christ est ressuscité,

C'est Pâques,

La joie est dans les coeurs.

 

A Noël, un enfant est né,

De joie, le monde l'a acclamé.

Devenu homme, la paix, il a proclamée,

La parole, il a rendu aux muets,

Des foules, il a fait se lever.

Un jour, ses amis l'ont renié,

Il a été condamné,

Sur la croix, les soldats l'ont cloué.

Vers son Père, il s'est confié,

A ses ennemis, il a pardonné,

Marie, sa mère, a pleuré.

La pierre de son tombeau a roulé,

Sur le chemin, Thomas l'a rencontré,

Pierre et les autres sont étonnés.

Ils se sont exclamés ,

Le Christ est ressuscité.

Pâques est fêtée,

C'est le retour de l'être aimé,

Le message d'amour est passé,

A nous de le chanter.

Petit à petit,
L'oiseau fait son nid,
Et, moi, j'avance dans la vie.

Sans cesse,
L'oiseau gazouille,
Et, moi, je commence à sourire.

Un rien,
L'oiseau s'envole,
Et, moi, je trouve mes repères.

De nature,
L'oiseau se défend,
Et, moi, j'apprends à combattre.

Combattre ce stress envahissant,
Combattre mes silences à m'affirmer
Combattre mes émotions négatives.

Je n'étais pas libre comme l'oiseau
Maintenant, je veux voler,
Voler de mes propres ailes.

Voler pour chanter mon existence,
Voler pour crier mes droits
Voler pour être soulagée.

A l'aube de ce printemps,
Il est grand temps de me réveiller
Et, pareille à l'oiseau dans le ciel,
Je pars vers une nouvelle destinée,
Avec le soleil pour ami,
Et, l'oiseau pour confident  et soutien.

Pour le défi n°25 d'   link

J'écris des mots,
Des mots qui parlent,
Ils crient des peines,
Ils annoncent mes tourments,
Ils partagent mes peurs.
Des mots qui dansent,
Ils crient mes joies,
Ils annoncent mes réussites,
Ils partagent mes espoirs.
Avec les mots,
Je rencontre des amis,
Je soulage mon coeur,
Je raconte ma vie.
Ces mots sont les miens,
Je penses ces mots.
Ils sont critiques,
Ils sont demandes,
Ils sont méditations,
Ils sont mercis,
Ils sont compliments,
Ils sont amours.
Ces mots, des cadeaux aussi,
Ils sont des mots offerts,
Les mots ont été,
Les mots sont,
Et, les mots seront toujours.

Pour répondre à l'invitation d'Enriqueta: link

Là, dans le noir, une lueur,
C'est la fin du cauchemar,
Le promeneur égaré court,
Il est sauvé.

Là, dans l'âtre, une petite flamme,
Le feu peut reprendre,
La maison assombrie s'éclaire,
Elle retrouve sa chaleur.

Là, dans cette église, quelques veilleuses,
Près des saints, elles se consument
Les fidèles sont réunis,
Leurs prières s'élèvent vers le ciel.

Petite lueur, tu vas grandir,
Petite flamme, tu vas briller,
Petite veilleuse, tu vas éclairer.

Même si parfois, tu vacilles, lumière
Tu es toujours présente,
Tu attends une  solution à la science,
Tu espères une guérison prochaine,
Tu traces le chemin de l'amour .

Lumière, tu es éternelle,
Tu brilles pour le monde,
Tu éclaires chacun de nos coeurs,

Lumière, tu es vie,
Ma vie, ta vie, nos vies,
Et tant que la vie est,
L'espoir luit.

Le vent souffle où il veut,
Et j'entends sa voix,
Je ne sais pas d'où il vient,
Mais je le vois.
Il chasse les nuages,
Et il laisse placeau soleil,
Il agite les mers,
Et les vagues se brisent sur les rochers,
Il fait voler les feuilles,
Et les arbres se dénudent,
Ils poussent les passants,
Et les parapluies se retournent.
Mais, toi,le vent,
Tu n'es pas mon ami,
Tu es un grand stresseur,
Tu m'oppresses,
Et mes mâchoires se crispent,
Je me sens mal,
Tu hantes mes nuits,
Je ne peux dormir profondément,
Et les cauchemars s'enchaînent,
Tu ne m'apportes pas un message de paix,
Tu troubles mes pensées.
Je veux te battre,
Et  je me mets à crier,
Si tu permets aux bateaux d'avancer,
Quand tu es avec moi,
Je ne suis pas tranquille,
Je n'ose plus bouger,
Je parle peu,
Des banalités, je cause,
J'ai peur de blesser les autres
Avec des mots trop brusques.
Oh vent, deviendras-tu, un jour, mon allié ?
M'apporteras-tu des sons tendres ?
Me permettras-tu de respirer calmement
Soufflerons-nous, une fois, ensemble
Sur le long chemin de la vie ?

Je voudrais être animal de compagnie,
Tel un chien, je recevrais des caresses,
Je me promènerais tranquillement,
Ma gamelle serait prête  à heures fixes
Et, surtout, de rien, je me soucierais.

Je voudrais être artiste,
Mes talents seraient dévoilés au public,
Mon nom serait sur les affiches,
Mon avenir serait assuré, de rien je manquerais,
Et, surtout, j'aurai une place dans la société.

Je voudrais être petite souris,
Je filerais en vitesse face au danger,
Je craindrais, certes, le chat, il est plus fort,
Des petits souriceaux, je pourrais choyer
Et, surtout, je surprendrais toutes les conversations cachée dans un coin.

Mais je suis une simple personne,
Personne qui craint  les épreuves de la vie,
Personne qui doit tout supporter,
Personne qui est fragile,
Personne qui n'arrive pas à se soulager par les pleurs,
Mais, aussi, personne qui aime et recherche les contacts,
Personne qui se donne à  fond dans ce qu'elle entreprend,
Personne qui a compris qu'il n'est jamais trop tard pour se changer.

Pour le casse-tête de la semaine sur le blog de Lajemy: link