• Petit village du Nord

    Avesnes, je ne préciserai pas lequel,

    Il y en a plusieurs dans cette région.

    C'était là où je résidais.

    Mon père réparait les Arondes.

    Nombreux étaient les Agriculteurs.

    Ils avaient des champs à perte de vue.

    Ils cultivaient l' Avoine, le blé, le maïs, l'orge, le lin.

    Durant la moisson, les Aoûtats venaient nous piquer.

    Les femmes s'occupaient des enfants.

    Elles Aimaient à Avoir un beau jardin

    Où les Anémones fleurissaient à foison.

    Les gosses Allaient ramasser les fruits.

    Et les bocaux de confitures d'Abricots se remplissaient.

    C'était la campagne,

    Et, pas loin de chez moi,

    Il y avait la base.

    Quand l'orage commençait à gronder,

    Les Avions décollaient pour l'éloigner.

    Tout cela c'était Avant.

    Aujourd'hui, les choses ont bien changé.

    Des tissages ont été fermés,

    Le village s'est Agrandit,

    Des usines aux Alentours se sont construites.

    Il y a toujours les Abeilles sur les fleurs.

    Maintenant un concours de la plus belle maison fleurie existe.

    Des concours d'Arbalètes sont toujours organisés lors des ducasses.

    Avesnes a gardé ses traditions.

    Les géants font partie des défilés,

    Des musiciens jouent encore de l'Accordéon.

    Sopranos, Altos, basses sont das les chorales.

    Et Avesnes a ses Armoiries.

    Trois lions sur fond rouge surmonté d'une couronne.

    Avesnes, un endroit où il fait bon y vivre

    Même si le soleil n'est pas toujours présent,

    Il est au moins dans les coeurs.

    Blason Avesnes-les-aubert

     

     

    Pour le défi de http://dimdamdom59.apln-blog.fr/2014/09/02/abecedaire-pays-villes-etc-lannuaire-les-nuls/


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  • Plus de vacances

    Ecole ouverte

    Tableau avec la date du jour

    Rentrée s'est bien déroulée

    Ouvrages neufs à découvrir

    Nouveaux professeurs

    Interdiction de tricher

    Livres à recouvrir

    Leçons à apprendre

    Elève sera peut-être récompensé

     

    Pour le défi de http://jill-bill.over-blog.com avec le prénom Péronille


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  • Les valises sont rangées,

    Les cartables sortis,

    Il faut reprendre le chemin de l'école.

    Des enfants sont heureux ,

    Ils retrouveront leurs camarades,

    D'autres seront inquiets,

    Ils changent d'établissement.

    Les plus petits verseront des larmes,

    Ils doivent quitter leur maman, leur papa.

    Les adultes reprennent aussi.

    Ils retournent dans leur bureau,

    Ils pénètrent dans leur usine.

    Certains pensent à l'avenir,

    Ils ont le dos tendu,

    Ils craignent pour leur emploi.

    Aujourd'hui, ne faut-il pas vivre au jour le jour ?

    Dire merci à la journée écoulée,

    Dire merci d'avoir la santé,

    Ne pas toujours penser à ses souffrances.

    Certains sont à l'article de la mort.

    Ils savent ne plus avoir aucun avenir,

    Ils attendent l'heure du départ pour le long voyage,

    Ils veulent voir leurs maux abrégés.

    Nous, nous pouvons encore bouger,

    Peut-être plus comme à vingt ans.

    Il faut prendre son bâton de marche,

    Mais nous pouvons encore aller promener,

    Nous voyons encore du monde,

    Nous occupons notre temps

    Parfois bien utilement.

    Nous faisons partie d'associations,

    Nous cousons, tricotons, crochetons

    Peut-être pour vêtir des plus malheureux,

    Aussi pour le plaisir d'orner la maison.

    Certes, nous faisons attention.

    Nous vouons pouvoir finir le mois.

    Nous reportons parfois des achats.

    Mais nous mangeons à notre faim.

    Pourquoi demander toujours plus ?

    Nos anciens vivaient de la récolte de leur jardin.

    Nous n'avons pas forcément la chance de disposer d'un lopin de terre.

    Ils oeuvraient  dur,

    Ils se levaient tôt et se couchaient tard.

    Ils partaient à leur bouleau avec le quignon de pain.

    Et, quand ils rentraient,

    La lessive, le repassage, l'entretien et surtout les enfants les attendaient.

    Ils e rechignaient pas.

    Ils prenaient le temps de parler aux voisins,

    Ils s'entraidaient,

    Ils avaient bien souvent le sourire.

    De nos jours, les gens courent,

    Ils ne regardent plus personne.

    Le monde devient indifférent.

    C'est du chacun pour soi.

    Certes nous ne pouvons pas tout donner à l'autre,

    Certains savent reconnaître le bien,

    D'autres ne disent même pas merci,

    Pour eux c'est la normalité.

    En ce début de septembre,

    Ne pouvons-nous pas prendre de bonnes résolutions ?

    Ne pas toujours s'en faire

    Ne pas se plaindre pour un petit bobo,

    Accueillir l'autre quand il a besoin,

    Sourire et répondre à ce geste,

    Dire merci,

    Prendre un temps pour méditer,

    Prendre un temps pour se remettre en question.

    La route est courte,

    Et ce serait dommage de se croiser sans se regarder !


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  • Un petit nuage

     

     

     

     

     

     

    Qui pense à lever les yeux vers le ciel ?

    Encore un paysage merveilleux à contempler !

    Un jour, ils sont gris,

    Le lendemain, ils sont blancs,

    Les nuages aux formes multiples.

    Un jeu de les regarder,

    De les comparer à des formes de la terre.

    Bien souvent avec eux, je rêve !

    Lorsque je chante,

    Je suis sur mon petit nuage,

    Lorsque je me promène,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je vois une fleur s'épanouir,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je découvre les fruits de l'arbre,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque j'entends les oiseaux piailler,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je vois s'accoupler les animaux,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je déguste un bon plat,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je rencontre des amis,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je suis entourée de ma famille,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je fais une bonne action,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je réussis une nouvelle activité,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque j'apprends,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je blogue,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je me recueille,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je suis dans le silence,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Lorsque je me confie à mon Dieu,

    Je suis sur mon petit nuage.

    Mon petit nuage,

    Tu es comme mon nid.

    Lorsque j'ai besoin d'aide,

    J'aimerai être sur mon petit nuage.

    Lorsque je doute,

    J'aimerai être sur mon petit nuage.

    Lorsque je souffre,

    J'aimerai être sur mon petit nuage.

    Lorsque quelqu'un me blesse,

    J'aimerai être sur mon petit nuage.

    Lorsque j'attends une nouvelle,

    J'aimerai être sur mon petit nuage.

    Mon petit nuage,

    Tu es comme mon rempart.

    Mon petit nuage,

    Un camarade sur lequel je peux compter.

    Mon petit nuage,

    Un camarade ne répétant pas mes secrets.

    Mon petit nuage,

    Un camarade ne se moquant pas de moi.

    Mon petit nuage,

    Un camarade ne médisant pas.

    Mon petit nuage,

    Un camarade répondant à mes appels.

    Mon petit nuage,

    Tu es comme un besoin.

    Mon petit nuage,

    Tu es mon espoir.

    Mon petit nuage,

    Tu es mon confident.

    Mon petit nuage,

    Tu peux être sombre,

    Si je suis dans la peine,

    Si je suis dans la recherche,

    Si je suis dans le malheur,

    Si je suis dans l'attente.

    Mon petit nuage,

    Je te veux clair,

    Je te souhaite d'être toujours avec moi.

    Mon petit nuage,

    Sans toi, je ne peux vivre !

     


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  • Pour le Défi n° 31  proposé par  Hauteclaire

     COMMUNAUTE CROQUEURS DE MOTS

     

    Coloriage petit chaperon rouge a imprimer

    Une fille déjà d'un certain âge aimait les personnes âgées.

    Un beau jour, elle confectionna un gâteau pour aller leur porter à la maison de retraite.

    Sur son chemin, elle rencontre des êtres de connaissance qui sortent de l'église. Ils viennent d'assister à la messe, là où le prêtre proclame la bonne nouvelle.

    Plus jeune, elle était assidue à ces offices mais elle a subi une épreuve bien triste : la perte de son papa.

    Les gens ne l'ont plus regardée, ils la critiquaient, ils la rejetaient.

    Elle s'est retrouvée bien seule.

    Ces hommes, ces femmes étaient loin de mettre en pratique le message d'amour, de donner le réconfort tant désiré.

    C'était pas un mais des méchants loups.

    Elle ne souhaitait plus les voir et n' a plus fréquenté cet édifice religieux.

    Elle évitait même de croiser ces grenouilles de bénitier.

    Elle a tout de même garder la foi et priait chez elle, dans la nature, devant la télévision lors de l'émission le jour du Seigneur.

    Elle s'est rattachée à autre chose ; à un monde hostile à la parole de Dieu.

    Elle a été bien accueillie. Elle était appréciée pour ses services rendus.

    Sans travail à l'époque, certains lui avaient trouvé une bonne place au sein de la mairie.

    Elle n'a pu accepter. Elle déménageait pour vivre avec son bien aimé.

    Elle  a tout de même rejoint l'établissement où elle se rendait et à déguster sa pâtisserie avec les rèsidants.

    Ils étaient heureux d'avoir de la visite.

    Ils lui racontaient toutes les histoires du temps passé.

    Elle aimait savoir les moments de l'histoire de son village et connaître l'origine des sobriquets.

    C'était le petit chaperon rouge des anciens.

    Ils souriaient de suite quand ils la voyaient.

     

     


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  • Aimez-vous les uns les autres.

    Souriez c'est un acte gratuit.

    Soyez simples et vrais.

    Ouvrez votre coeur aux merveilles de ce monde.

    Mains ouvertes et tendues vers votre entourage.

    Priez pour la paix.

    Travaillez pour une vie meilleure.

    Ici-bas, semez la joie autour de vous.

    Octroyez vous des moments de plaisir.

    Naviguez vers des eaux plus calmes.

     

    Donnez du temps à votre voisin

    Eblouissez les autres par votre positivité.

     

    Libérez-vous des chaînes de l'ennui.

    Allez clamer sur les chemins la bonne nouvelle.

     

    Visitez de nouveaux horizons.

    Incitez les jeunes au respect.

    Ecoutez la voix des anciens

    Regardez la nature et ses beautés.

    Gagnez peu à peu le but fixé.

    Envoyez des mots doux à vos proches.

     

    Munissez-vous de patience.

    Arrivez dans l'allégresse.

    Répondez oui aux demandes quand vous le pouvez.

    Invitez vos amis à la grande fête.

    Eternel est l'amour de notre mère du ciel.

    Le15 août

     


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  • En nous promenant sur un sentier d montagne,

    Nous croisons un homme et son chien.

    Il a un BERET.

    Il ne doit pas être de la Savoie,

    Ce n'est pas la coiffe de la région.

    Là, sur une fleur au doux parfum,

    Un PAPILLON aux belles couleurs virevolte.

    Sur les sommets, la neige ne tardera pas à  FONDRE

    Si les bel astre jaune continue de taper.

    Au loin, nous apercevons une cascade

    C'est celle du Morel.

    Nous regardons pour y monter,

    Trop de cailloux et ça grimpe fort,

    Je ne vais me RISQUER d'y aller.

    Je n'ai pas envie de tomber.

    Mon mari  plus téméraire s'aventure

    Et il me ramènera une belle photo.

    Une GLACE pour nous rafraîchir nous ferait bien plaisir.

    Une fois rentrés à l'hôtel,

    C'est l'heure du repas.

    La patronne nous demande si la promenade s'est bien passée.

    Elle est comme notre maman,

    Elle s'inquiète pour ses pensionnaires.

    Elle les chouchoute bien.

    Nous lui CERTIFIONS de ne pas eu de problèmes.

    Nous avons bien fait attention,

    Là où nous mettions les pieds.

    Par contre, nous avons ramassé quelques champignons.

    Nous ne savons pas s'ils sont bons.

    Nous les ferons ANALYSER par le pharmacien.

    S'ils sont comestibles,

    Nous aurons droit à une bonne omelette.

    Aimant beaucoup le fromage,

    Nous réclamons le plateau.

    Nous ne voyons pas de CAMEMBERT.

    C'est normal, nous ne sommes pas en Normandie.

    Par contre, nous savourons  le reblochon, la tome, le Beaufort,

    Le Petit Saint Marcellin au lait de chèvres.

    Le soir commence à tomber.

    Nous faisons une dernière petite marche digestive.

    Puis, nous nous DISTRAYONS avec la série des De Funès,

    Toujours un plaisir de revoir ce grand acteur.

    Et comme les nuits sont fraîches,

    Nous endurons la COUVERTURE.

    Ce n'est pas comme à Marseille,

    Où là, elle est mise au rebut pour la période estivale.

     

    Pour de défi de mumulagrenouille, plaisir d'écrire n° 19


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  • Cette année, pas d'incident, ni accident.

    Sur la route, nous craignons la pluie,

    Nous l'avons eue au retour une bonne partie du trajet.

    Nous nous sommes laissés doubler.

    Nous avons retrouvé notre Savoie.

    Les paysages nous ont une fois de plus enchantés.

    Le temps, pas vraiment durant une semaine.

    De notre chambre, les montagnes semblaient avoir disparues.

    Les nuages voyageaient sans cesse.

    Pas la peine d'aller visiter,

    Pas la peine d'emprunter les routes sinueuses,

    Nous n'aurions rien vu.

    Et le froid nous aurait surpris.

    Si, dans la vallée, il pleuvait,

    Sur les sommets, la neige tombait.

    Nous étions punis de promenades.

    Puis la chaleur est revenue,

    Tout le monde retrouvait son sourire.

    Et là, nous sommes sortis.

    Le chien restait à l'hôtel.

    Il ne voulait plus marcher,

    La vieillesse se fait sentir,

    Son souffle au coeur s'aggravait.

    Là, après avoir passé chez le vétérinaire,

    Il se porte beaucoup mieux,

     Il reprend ses habitudes,

    Mais nous ne le fatiguons pas

    La chaleur lui est nocive.

    Nous n'avons pas manqué à notre train-train vacancier.

    Nous faisions les courses de l'hôtelière.

    Elle se plaint de la dureté de la vie.

    Les toutous Moutcho et Popof nous ont fait la fête.

    Et il fallait voir comme ils nous obéissaient lors de l'absence de leur maîtresse.

    Une personne du quartier est partie en maison de retraite,

    Les studios restent vides,

    Cela fait tout drôle.

    Quel bien cela fait de quitter la ville,

    Sentir le bon air,

    Humer les foins coupés,

    Voir les belles fleurs des jardins,

    Et sur les sentiers, les sauvages

    Toutes aussi jolies.

    Quel bien cela fait de se vider la tête,

    Là-bas plus rien à penser,

    Même pas les repas,

    Se laisser vivre,

    Oublier tous les tracas de la vie quotidienne,

    Même si de temps en temps, une pensée revient.

    Se laisser dorloter le matin à la cure,

    Prendre de bons bains avec bulles et jets.

    Goûter les bons fromages,

    Savourer les légumes du jardin,

    Prendre plaisir à manger les framboises fraîchement cueillies,

    Voir quelques artisans lors d'un marché,

    Même pas le courage d'écrire un nouvel article,

    Même pas l'envie de se connecter,

    Prendre quelques photos d'arcs en ciel et des nuages.

    Etre sur le balcon,

    Voir les bons marcheurs.

    Ils vont affronter la montée de la cascade.

    Certains trouvent le temps long,

    Ils barrent les jours sur leur carnet de soins.

    Pour nous, ce n'est pas le cas.

    Quand sonne l'heure du départ,

    Avec un pincement au coeur,

    Nous remballons les valises et quelques souvenirs.

    Et peut-être avec une larme à l'oeil,

    Nous disons au revoir belles montagnes,

    Au revoir la tranquillité

    Peut-être à l'année prochaine.

     


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  • Je vois que vous n'avez pas chômé pendant mon absence

    J'ai plus de 2600 articles à voir et vous pourrez comprendre que je ne peux laisser un commentaire sur tous

     

    Mais je jette un coup d'oeil sur vosoeuvres

    Bises à tous


    114 commentaires
  • Do, le do il a bon dos

    Ré, les rayons d'or du soleil

    Mi, c'est la moitié d'un tout

    Fa, c'est facile à chanter

    Sol, l'endroit où nous marchons

    La, l'endroit où nous allons

    Si, siffler comme un pinson

    Et nous revenons à do

     

    Pour le défi de Fabulo blogspot


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